Sommeil et insomnies ? L'alimentation impacte ! LEPIVITS Compléments alimentaires

Dans notre société occidentale, le souper est généralement synonyme de « gros repas ». Après une journée de travail bien chargée, l’homme a tendance à se remplir la panse pour « décompresser ». À croire que le dicton « mangez comme un roi le matin, comme un prince le midi et comme un pauvre le soir » est tombé aux oubliettes. Malheureusement, nos comportements alimentaires affectent négativement notre sommeil.

Si l’on se base sur les études, un belge sur trois se plaint de troubles du sommeil et 50% de la population ne dort pas suffisamment[1]. En 50 ans, la durée de sommeil s’est réduite d’une heure chez l’adulte et de 2 heures chez les adolescents ! Le manque de sommeil explique en partie l’explosion des pathologies dégénératives dans les populations des pays développés[2]-[3]. Pendant la nuit, l’énergie n’étant plus investie dans des actions physiques et intellectuelles, nous détournons cette énergie à la réalisation des tâches de croissance, de défense, de restauration et de réparation de notre organisme. Les aliments ingérés en fin de journée jouent un rôle primordial sur la qualité de notre sommeil.

Comment l'alimentation impacte notre sommeil ?

L’une des raisons principales se cache dans l’abus de calories et surtout de protéines consommées au repas du soir. Ces nutriments ingérés en excès en fin de journée, perturbent notre cycle circadien (rythme biologique). Réduire notre consommation d’aliments caloriques et protéinés (voire les éviter totalement) est l’une des clés nous permettant d’optimiser notre sommeil. Voici quelques arguments expliquant ce phénomène :

Tout d’abord, les aliments riches en protéines (viandes, poulets, poissons, crustacés, produits laitiers, œufs, etc.) perturbent notre chronobiologie[4] en inhibant la production de sérotonine cérébrale (hormone modulatrice des pulsions ayant une action calmante). Le manque de #sérotonine affecte la production de #mélatonine (hormone du sommeil)*.

Limitez les protéines au souper et favorisez la production de mélatonine

*La sérotonine est transformée, grâce à des coenzymes (magnésium, vitamine B6, taurine, etc.), en mélatonine.

Ensuite, un repas riche en calories, engendre une dispersion postprandiale (chaleur dégagée par la combustion des aliments), qui nous empêche de trouver le sommeil. La chaleur dégagée est associée à une agitation plus intense des molécules affectant notre cycle nycthéméral (alternance éveil – sommeil). Notre corps a besoin de se mettre en « veille » et ne doit pas être surchargé d’aliments fournissant trop d’énergie en soirée.

Enfin, la mélatonine favorise l’endormissement et possède également de nombreuses actions antioxydantes & anti-inflammatoires. Cela explique entre partie les effets positifs de la mélatonine sur les phases de réparation de notre ADN. Il est préférable de supprimer les nutriments venant bloquer sa production. Voici un récapitulatif des bienfaits de la mélatonine :

Un souper léger diminue le stress oxydatif et inflammatoire et favorise la réparation de notre ADN durant la nuit. En d’autres mots, « souper léger régénère nos batteries ».

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[1] slate.fr/story/97527/fondation-nationale-sommeil-heures-dormir
[2] Rapport 2012 Institut National du sommeil et de la vigilance
[3] Knuston KL et al, Trends in the prevalence of short sleepers in the USA : 1975-2006, Sleep, 2010 ;33 :37-45
[4] Tahara Y et Shibata S, Chronobiology and nutrition,Neuroscience, 2013, 253 : 78-88